Netflix a diffusé ce matin le septième épisode de la saison 1 de Star Trek Discovery, un excellent épisode qui marque par son rythme, son intensité et son humour.
Après des débuts difficiles principalement en raison de la comparaison de la série Star Trek Discovery avec les autres médias existants et notamment avec Star Trek TOS dont la série est censée se dérouler quelques années auparavant, au fil des épisodes cette première saison trouve son rythme de croisière et réussi à convaincre de plus en plus de spectateurs. Et ce septième épisode au rythme intense, au sentiment de déjà vu assumé et à l’humour certain réussira à coup sûr à convaincre encore d’autres personnes réticentes à l’idée de poursuivre les aventures de Michael Burnham et de l’U.S.S. Discovery.
Piégés dans une boucle temporelle par un ennemi oublié des spectateurs, l’équipage du Discovery doit trouver un moyen de sauver la technologie Sporique et l’empêcher de tomber entre les mains des Klingons qui gagneraient à coup sûr la guerre contre Starfleet avec une telle technologie. C’est l’occasion pour Michael Burnham, jouée par Sonequa Martin-Green, de tester de nouvelles conduites à tenir notamment à l’occasion de la fête qui a actuellement lieu à bord du vaisseau.
Un super épisode bourré d’humour, d’action et de tension, mais qui se termine aussi brutalement qu’il a commencé.